Light Agency a perdu son site web ! – Light Agency

Peut-être l’avez-vous remarqué ce matin en vous connectant sur secretaire-distance.com, le site Light Agency a fait en quelque sorte peau neuve ! Vous allez rire de ma malchance, je vous raconte rapidement tout dans ce billet thérapeutique pour moi.

Alors que s’est-il passé ?

Figurez-vous que j’avais prévu de me déconnecter un peu ce week-end et que pour ce faire, je n’avais débuté aucune nouvelle mission. Maman de 4 garçons, j’avais tout simplement envie de profiter un peu d’eux. J’aurais dû !

Mon ami WordPress, samedi, m’a rappelé à son bon souvenir en me demandant de faire une mise à jour. Comme l’un de mes grands enfants est un « petit génie » de l’informatique, je lui ai demandé un coup de pouce. Oui, parce que bon, si je peux m’éviter une tâche rébarbative, je ne vais pas m’en priver ! Fatale erreur. Cela m’apprendra à être feignante et peut-être aussi à déléguer.

Mon fils a bien mis à jour mon site WordPress et dans un élan de geek, il a voulu passer Light Agency en HTTPS. Et là, le site a commencé, tel un sapin de Noël, à se parer… de ses plus belles alertes. Nous avons commencé à regarder une à une toutes les erreurs et d’un coup : plus rien ! Quand je vous dis, plus rien, nous avons perdu toute trace du site. Pour être totalement honnête avec vous, Charles a tout fait pour sauver mon bébé, mais il n’y est pas parvenu. Personnellement, j’ai opté pour la solution la plus facile, certes complètement inutile : j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps. Mettez-vous à ma place, 10 ans de travail réduits à néant en un clic ! Pour la première fois de ma vie, je n’avais pas les mots et surtout, j’ai réalisé que l’intégralité de mes articles avait disparu.

Light Agency est morte… vive Light Agency !

Je vous passerai la nuit catastrophique que j’ai eue, car je doute que cela vous intéresse vraiment. Pour faire court, j’ai cogité toute la nuit, parce que je n’avais plus de site, plus de visibilité…

Puis, mon garçon est arrivé, certes les traits tirés et fatigués, mais avec ce regard de triomphe ! Il avait bossé toute la nuit, pour qu’à mon réveil, Light Agency, tel le Phoenix, ait pu renaître de ses cendres. Tout n’était pas parfait. Néanmoins, mon fils n’a que 17 ans et son investissement était si beau que je me suis dit « pourquoi pas après tout ! ». Tous les deux, nous avons retroussé nos manches. Nous nous sommes munis de nos ordinateurs et nous avons donné un coup de jeune au site web de l’entreprise avec une idée en tête, qu’il soit opérationnel dès lundi matin.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que nous n’avons pas chômé ! Charles pilotait (d’une main de maître) le projet, et moi… j’ai fait ce que je sais faire le mieux, c’est-à-dire rédiger le contenu de mes différentes pages. Oui, car tant qu’à faire, autant tout reprendre à 0. Le plus long a été la récupération de TOUS mes articles blog. C’était à mon sens le plus important, puisqu’à mes yeux, ils ont une valeur inestimable. Toutefois, mission réussie !!!   

Qu’est-ce qui a changé ?

Le nouveau site de mon auto-entreprise est bien évidemment largement inspiré du précédent, notamment au niveau des couleurs, de la page d’accueil. Cependant, maintenant, le site est, à mon sens, beaucoup plus clair et moderne. Les différents onglets se veulent plus intelligibles, plus informatifs et plus professionnels.

De plus, nous avons remis à jour tous les contacts et les formulaires. En effet, je souhaitais pouvoir être joignable le plus facilement possible, car en tant que rédactrice web, la communication demeure ma priorité.

Une nouvelle fois, mille mercis à mon fils Charles, capable de vous faire disparaître un site web encore plus vite qu’un lapin dans un chapeau. Grâce à toi mon fils, j’ai dû sortir de ma zone de confort, nous avons dû repenser la vitrine de Light Agency. Alors, je vous le concède, ce n’est sans doute pas le site web le mieux réalisé du monde, mais à mes yeux (et c’est le plus important), il est parfait. Maintenant, il a une histoire et nos heures, côte à côte, ont été un délice. Dorénavant… le plus dur commence, il ne me reste plus qu’à l’indexer !