Transcription audio : quelles sont les bonnes pratiques ? – Light Agency

Le transcripteur professionnel, qu’il fasse usage d’outils de transcription ou non, relève dans l’exercice de ses fonctions un grand nombre de défis. Il lui est en effet constamment demandé de jongler avec des bandes sons parfois capricieuses, de la saisie au kilomètres, des écoutes multiples, de la relecture, des mises en forme diverses et des corrections. Toutefois, qu’est-ce qui fait qu’une transcription vidéo ou audio est dite de qualité ? Quelles sont les normes de la profession ? Y a-t-il des écueils à éviter ?

Le transcripteur : un expert qui se doit d’être neutre !

Cela peut paraître surprenant, mais un bon professionnel de la transcription ne doit aucunement se départir de son impartialité. Pour ce faire, il lui incombe de ne jamais être dans le jugement. En effet, son travail lui permet d’avoir accès à des contenus stratégiques ou encore sensibles, tels que des comptes rendus des CHSCT, des CSE, des CE. Il est donc impératif que l’impartialité soit la ligne de conduite de tout transcripteur qui se respecte… et respecte ses clients. Peu importe le format de transcription choisit, la restitution des propos doit être fidèle.

Essayer de travailler avec des fichiers sons de qualité

Afin de pouvoir permettre un traitement optimum de la bande son, il apparait plus que nécessaire que cette dernière soit de bonne qualité. Dans le cas contraire, le temps de traitement sera rallongé et de nombreuses réécoutes obligatoires. Cela risque d’engendrer du retard dans la livraison de la prestation et d’entrainer des erreurs dans la transcription. Il importe donc d’être plus qu’attentif à la qualité des fichiers reçus. Toutefois, si vous ne pouvez faire autrement, sachez qu’il existe sur le marché de nombreux outils gratuits et fiables. Ces logiciels vous donneront la possibilité de « nettoyer » au mieux l’enregistrement des nuisances sonores. Autre avantage non négligeable : faire usage d’un tel outil vous offrira entre autres de réduire la vitesse de la bande pour l’exploiter sans difficultés. 

Transcription audio : ne jamais faire l’impasse sur la correction 

Bien souvent, on pense à tort que le travail de transcription se termine lorsque la bande son prend fin. Cependant, livrer un contenu brut, sans mise en forme, aucune relecture et correction est une erreur à ne pas commettre. Cela pourrait engendrer de l’insatisfaction client et entacher durablement votre réputation. Par conséquent, il est important de se convaincre que le travail de relecture fait partie intégrante des tâches incombant au transcripteur. Il est, de ce fait, incontournable de posséder de solides compétences en orthographe, en grammaire et en conjugaison afin de restituer un écrit fluide et bien structuré.

Savoir organiser sa séance de transcription 

Le métier de transcripteur vidéo ou audio requiert de nombreuses qualités et compétences. Encore peu connu du grand public, il demande cependant une grande concentration et une organisation certaine. Ainsi, une certaine discipline est de mise afin d’obtenir un travail de qualité. Vous êtes un peu perdu et ne savez pas réellement comment procéder ? Voici quelques conseils :

  • écoutez une première fois le fichier son afin de vous familiariser avec la voix de la personne. Cela vous permettra par ailleurs de vérifier que la bande est complète ;
  • transcrivez le fichier à votre rythme en accélérant ou ralentissant ce dernier pour vous permettre de taper à votre rythme. Il vous est tout à fait possible d’avoir recours à un logiciel de transcription pour vous aider et gagner du temps ;
  • procédez à un travail en profondeur de mise en forme et de relecture afin que la syntaxe soit irréprochable, les erreurs de transcription gommées… ;
  • octroyez-vous des pauses. Cela peut en effet être surprenant, néanmoins il est important de savoir que nous perdons une partie de nos capacités auditives après plusieurs heures d’écoute active. Procéder à un break offrira un repos bien mérité à vos oreilles, aérera votre esprit et vous permettra de prendre du recul. Vous ne reviendrez que plus concentré par la suite.

4 Comments on “Transcription audio : quelles sont les bonnes pratiques ? – Light Agency

    • Thank you for your question — it’s highly relevant for anyone aiming to deliver quality transcription work under real-world time constraints.

      To enhance both productivity and accuracy, transcribers can apply a few simple but powerful principles:

      Prepare the environment
      Minimize distractions, use quality headphones, and ensure a quiet workspace. Even small interruptions can lead to time lost and repeated rewinding.

      Segment the session
      Break audio into manageable chunks (3–5 minutes), focusing on one section at a time. This avoids fatigue and reduces error rates.

      Use smart tools
      Transcription software with pause/rewind shortcuts, timestamp automation, or voice recognition can speed up the process — as long as human oversight remains central.

      Create a style guide
      Having predefined formatting rules (punctuation, timestamps, speaker tags, etc.) reduces hesitation and inconsistency while transcribing.

      Edit in a separate pass
      Transcribe first, then proofread. Trying to perfect as you go slows you down and introduces errors.

      In short: work in focused sprints, rely on efficient tools, and separate the writing from the polishing. This way, transcribers can stay fast without compromising precision.

    • Un bon positionnement sur la première page des résultats de recherche (SERP) ne repose pas sur une seule règle, mais sur un ensemble de bonnes pratiques cohérentes. Voici les piliers à respecter :

      un contenu utile et ciblé. Google privilégie les pages qui répondent clairement à une intention de recherche. Il faut donc produire un contenu de qualité, bien structuré, qui traite un sujet de façon précise et sans blabla inutile.
      un mot-clé principal bien choisi… et bien utilisé. Il doit être inséré naturellement dans les balises (title, H1, meta description), les premiers paragraphes et dans le corps du texte, sans sur-optimisation ;
      une structure claire. Titres hiérarchisés (H1, H2, H3…), paragraphes aérés, maillage interne cohérent : tout cela aide les moteurs à comprendre le contenu… et les lecteurs à rester ;
      une expérience utilisateur irréprochable. Temps de chargement rapide, version mobile fluide, navigation intuitive : si l’utilisateur quitte la page trop vite, Google le remarque ;
      Des liens de qualité (backlinks). Obtenir des liens entrants depuis des sites fiables et pertinents renforce la crédibilité du site aux yeux des moteurs de recherche ;
      une régularité dans la publication. Les sites qui publient régulièrement des contenus frais, pertinents et mis à jour ont plus de chances de remonter dans les résultats.

      En résumé : il ne s’agit pas de « plaire à Google », mais de produire un contenu utile, bien présenté, techniquement propre et légitime. C’est cette cohérence qui fait monter une page dans les résultats.

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